Un bâtiment fut conçu dés le départ
pour accueillir les jeunes vacanciers: c'est celui du patronage Don Bosco
qui formait un ensemble avec sa chapelle et son calvaire. Nous sommes dans
l'entre-deux guerres et, comme pour les villas, le vocabulaire architectural
n'est plus celui des débuts. La longue façade blanche de Don
Bosco utilise les termes régionalistes comme ce pignon
découvert dont le rampant se prolonge en un appentis (mais orné
alors de vitraux). Un escalier mène à une terrasse étroite
d'où l'on pénétrait dans l'impressionnant volume du
rez-de-chaussée pavé de petits carreaux de céramique,
tout comme l'escalier intérieur menant aux dortoirs. La chapelle,
voisine, oeuvre des architectes Laurent & Heuze date de 1926. Pierres
apparentes, enduit, béton juxtaposés relient tradition et
souci du moment. |
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Il est temps de regarder les villas, mais auparavant considérons le bazar avec le cartouche le définissant, sa toiture plate largement débordante posée sur une impressionnante rangée d'aisseliers. Les anciennes cartes postales montrent l'huisserie de la porte centrale, en harmonie avec le propos d'ensemble. Imaginer la clientèle des villégiateurs achetant gâteries ou souvenirs est chose facile si l'on songe au nombre de chambres que totalisaient les hôtels et les villas. | ||
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