Numéro 20: 16 octobre 1999
Bonjour jeunes gens:
Problèmes techniques.
Cela fait un petit moment que je ne vous ai pas passé un petit bonjour depuis le bout de la Bretagne. En fait, sans vous raconter ma vie, je tiens à préciser que je n'ai pas pu me libéerer ces derniers week-ends pour mettre à jour le site. J'ai bien failli, cette semaine également, récidiver dans mon inactivité dont certains d'entre vous se sont plaints. Il y a deux jours, j'ai malencontreusement "effacé" deux disques durs qui contenaient, entre autres, l'ensemble du site. Evidemment, comme toute personne prévoyante, je n'avais pas de sauvegarde. Bien fait! Le temps de tout réinstaller et de récupérer les pages chez Multimania et me voici à nouveau prêt pour me remettre au travail. J'ai toutefois perdu les originaux que j'avais utilisé pour les cartes de Primel. Il faudra que je les refasse quand j'aurai le temps.
Ces trois semaines d'inactivité m'ont permis de me pencher sur la question du remplacement des images gif du site. En effet, si vous avez suivi l'actualité de l'informatique de ces dernières semaines, vous aurez certainement entendu parler du problème qui touche ce format de fichier. La société à l'origine de l'algorithme de compression aimerait que les utilisateurs lui paient des droits exorbitants pour l'utiliser. La solution pour remplacer le gif existe, il s'agit du format png. Après quelques tests, je n'ai pas réussi à remplacer la soixantaine de gif qui ornent mon site et ceci principalement à cause de problèmes de transparence. Celle-ci semble mieux gérée par IE que par Netscape. Donc pour le moment, on en reste là.
Mais revenons à Primel puisque notre sujet est bien là. Cette semaine, j'ai décidé de commencer à vous parler de la partie habitée de Primel. Depuis des semaines, j'occulte le sujet mais il est bien difficile de ne pas l'évoquer. Mon propos d'aujourd'hui n'est qu'une introduction à un sujet qui mérite bien plus d'une semaine de développement.
En attendant la semaine prochaine, je vous souhaite une bonne lecture. N'hésitez pas à m'écrire.
J-F Derrien